Vous êtes ou avez été victime de violences physiques, psychiques et/ou sexuelles ? Vous avez décidé de porter plainte ou, au contraire, de ne pas le faire ? Votre témoignage peut être précieux pour d’autres victimes !
« Pour lui, c’est de ma faute s’il me frappe. Quinze ans plus tard, après une très longue thérapie, je n’ai pas oublié, mais j’ai appris à vivre avec et n’ai plus peur. »
« Mon ex-mari a eu six mois avec sursis et l’obligation de suivre une thérapie. Il s’est rendu une fois voir ce professionnel de santé et il m’a dit que cela serait un bon spécialiste pour moi. Que lui n’avait pas besoin de suivi. »
« La justice pénale est injuste et incohérente et s’ensuit indéniablement la minimisation de l’impact sur la femme victime et de surcroît handicapée. »
« Pour moi, c’était trop tard. Mais je devais protéger les autres. Ma plainte m’a permis de me reconstruire et, j’en suis convaincue, l’a dissuadé de recommencer avec une autre. »
« Je le protégeais et disais à la Police que tout allait bien, que ce n’était qu’une dispute. Je pensais qu’il allait changer, qu’il souffrait et ne le faisait pas exprès. Il était mi-démon, mi-ange. »