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Vous êtes ou avez été victime de violences physiques, psychiques et/ou sexuelles ? Vous avez décidé de porter plainte ou, au contraire, de ne pas le faire ? Votre témoignage peut être précieux pour d’autres victimes !

 

«  La police m’a demandé des témoins... Qui ?

J’étais seule avec lui. »

 

« Je suis passée du statut de victime à celui de prévenue.
Et l’affaire n'est pas finie. »

 

« Pour lui, c’est de ma faute s’il me frappe. Quinze ans plus tard, après une très longue thérapie, je n’ai pas oublié, mais j’ai appris à vivre avec et n’ai plus peur. »

 

« J’ai vécu dans une relation maltraitante durant onze années, sans me rendre compte de ce que je vivais. »

« Mon ex-mari a eu six mois avec sursis et l’obligation de suivre une thérapie. Il s’est rendu une fois voir ce professionnel de santé et il m’a dit que cela serait un bon spécialiste pour moi. Que lui n’avait pas besoin de suivi. »

 

«  La justice pénale est injuste et incohérente et s’ensuit indéniablement la minimisation de l’impact sur la femme victime et de surcroît handicapée. »

 

« Cette situation a duré environ six ans ! En y repensant, je me dis que je suis fou d’avoir toléré cela si longtemps. »

 

« Je n’ai pas pleuré sur mon sort, mais j’ai dû transformer ma rage impérativement pour ne pas qu’elle prenne le dessus. »

« Pour moi, c’était trop tard. Mais je devais protéger les autres. Ma plainte m’a permis de me reconstruire et, j’en suis convaincue, l’a dissuadé de recommencer avec une autre. »

 

« Je le protégeais et disais à la Police que tout allait bien, que ce n’était qu’une dispute. Je pensais qu’il allait changer, qu’il souffrait et ne le faisait pas exprès. Il était mi-démon, mi-ange. »

 

« Aujourd’hui, je me suis pardonnée d’avoir vécu ces violences et j’ai appris à être bienveillante envers moi-même. »

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