top of page
logo_web.png
iStock-1170974526_brun_clair.jpg

 

Vous êtes ou avez été victime de violences physiques, psychiques et/ou sexuelles ? Vous avez décidé de porter plainte ou, au contraire, de ne pas le faire ? Votre témoignage peut être précieux pour d’autres victimes !

 

« Je n’ose pas intenter quoi que ce soit en justice. J’ai peur qu’on ne me croie pas ou que l’on considère que c’est ma faute ou que ce n’est pas si grave.  »

 

«  La police m’a demandé des témoins... Qui ?

J’étais seule avec lui. »

 

« Je suis passée du statut de victime à celui de prévenue.
Et l’affaire n'est pas finie. »

 

« Pour lui, c’est de ma faute s’il me frappe. Quinze ans plus tard, après une très longue thérapie, je n’ai pas oublié, mais j’ai appris à vivre avec et n’ai plus peur. »

 

« J’ai vécu dans une relation maltraitante durant onze années, sans me rendre compte de ce que je vivais. »

« Mon ex-mari a eu six mois avec sursis et l’obligation de suivre une thérapie. Il s’est rendu une fois voir ce professionnel de santé et il m’a dit que cela serait un bon spécialiste pour moi. Que lui n’avait pas besoin de suivi. »

 

«  La justice pénale est injuste et incohérente et s’ensuit indéniablement la minimisation de l’impact sur la femme victime et de surcroît handicapée. »

 

« Cette situation a duré environ six ans ! En y repensant, je me dis que je suis fou d’avoir toléré cela si longtemps. »

 

« Je n’ai pas pleuré sur mon sort, mais j’ai dû transformer ma rage impérativement pour ne pas qu’elle prenne le dessus. »

« Pour moi, c’était trop tard. Mais je devais protéger les autres. Ma plainte m’a permis de me reconstruire et, j’en suis convaincue, l’a dissuadé de recommencer avec une autre. »

 

« Je le protégeais et disais à la Police que tout allait bien, que ce n’était qu’une dispute. Je pensais qu’il allait changer, qu’il souffrait et ne le faisait pas exprès. Il était mi-démon, mi-ange. »

 

« Aujourd’hui, je me suis pardonnée d’avoir vécu ces violences et j’ai appris à être bienveillante envers moi-même. »

SOUTENEZ VICTIME PAS SEULE !

 

Bénéficiaire :

Association VPS

1260 Nyon

Banque Alternative Suisse

CH10 0839 0039 8657 1000 5

[bulletin de versement QR]

don_web.jpg
qr-code_vect.png

TWINT

Scannez ce code QR depuis votre application Twint ou cliquez ici depuis votre téléphone !

Vos dons permettent de développer, imprimer/produire et diffuser des outils d’information et de sensibilisation pour les personnes victimes de violences physiques, psychiques et sexuelles (et leurs proches) en Suisse romande. Qu’il soit ponctuel ou régulier, quelle que soit la somme, votre soutien est précieux. Un chaleureux merci !

Exemple de soutien ponctuel : CHF 200.–, 500.– ou 1’000.–

Exemple de soutien régulier : CHF 20.–, 50.– ou 100.– par mois

 

​Vous pouvez également soutenir VPS en achetant cette belle collection de magnets solidaires !

magnets_footer.png

© 2021-2025

Cette plateforme d’information a été imaginée et réalisée par Chloé, ancienne victime, avec l’aimable participation de la Police cantonale vaudoise, Me Céline Jarry-Lacombe | avocate à Vevey, M. Pierre Jaquier | intervenant LAVI à Lausanne, Mme Céline Degonda | psychothérapeute à Lausanne et Mme Cécile Greset | collaboratrice scientifique et doctorante à l’Institut des études genre à Genève, pour la mise en ligne en mars 2022.

 

Un remerciement tout particulier aux personnes qui ont partagé leur précieux témoignage. Vous souhaitez témoigner anonymement ? Vous pouvez transmettre votre témoignage ici !

Un chaleureux merci aux survivantes et à toutes les personnes qui contribuent à la réussite des différents projets VPS ♥ Merci aux professionnel·le·s qui valident le contenu de la plateforme et des outils et qui interviennent dans les articles du blog. Merci à toutes les personnes qui ont offert de traduire le violencier en ligne dans leur langue. Enfin, un remerciement spécial à Soroptimist International Nyon-Rolle pour son soutien et sa collaboration.

TOUTE REPRODUCTION, MÊME PARTIELLE, EST INTERDITE SANS AUTORISATION.

bottom of page